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Si vos auteurs ou votre service se trouvent en possession de vieilles disquettes ou de fichiers obsolètes (PageMaker™, MacWriteII™, WriteNow™, WordPerfect™, MS-Works™…) tout n'est peut-être pas perdu. Nous pouvons (encore pour quelque temps) récupérer certains fichiers. N'attendez quand même pas de miracles : la plupart du temps nous récupérons du texte brut. Mais peut-être éviterez-vous ainsi d'avoir à recomposer plusieurs centaines de pages.
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La numérisation maîtrisée
- Nos procédés vous garantissent la meilleure reproduction possible
- Chaque image de page subit un traitement particulier afin d'éliminer le fond, d'améliorer la netteté et le contraste et de réduire les imperfections de l'original.
- Trois méthodes de numérisation différentes
- selon que le texte doit être remanié ou non :
- 1. Reprise « à l'identique » (ou « reprint »)
- Les pages sont numérisées en mode image, haute définition, et conservent la mise en page et la typographie de l'édition d'origine (avec ses qualités, mais aussi ses défauts : encrage irrégulier, coquilles… ).
- 2. Reprise en lecture optique (OCR)
- Le texte original est numérisé puis reconnu et livré sous la forme d'un fichier de type traitement de texte afin que l'auteur puisse le retravailler à sa guise.
Cette solution est idéale pour permettre à un auteur de reprendre un texte écrit plusieurs années auparavant et de le remanier afin d'en faire une nouvelle édition.
C'est également la technique employée pour réaliser une nouvelle édition d'un ouvrage dont il n'existe pas (ou plus) de fichier de mise en page. - 3. Technique mixte
- Cette technique, qui offre une très grande souplesse d'utilisation, consiste à numériser les principaux chapitres d'un ouvrage en mode image, puis à y ajouter – par exemple – une nouvelle introduction et/ou un premier chapitre et/ou une conclusion profondément remaniés, voire entièrement nouveaux, dans une mise en page semblable à l'édition originale.
Cette technique permet d'envisager la création de « nouvelles éditions revues et augmentées » pour un coût modique car on reprend pour l'essentiel l'ancienne mise en page et l'on ne compose que les chapitres nouveaux ou remaniés.
INGED-Info :
« To scan or not to scan… »
« Numériser ou ne pas numériser ? » Tel est le dilemme auquel se trouvent confrontés éditeurs, responsables de départements et chefs de fabrication. La décision a des implications financières fortes qui doivent être soigneusement évaluées. La solution consistant à « clicher » l'original pour le réimprimer directement paraît tentante : rapide et peu couteuse, elle n'implique qu'un seul intermédiaire, généralement un imprimeur équipé d'un banc de numérisation automatique (chassis Rachwall ou équivalent) et permet d'obtenir un retirage à moindre coût.
Mais cette solution est loin d'être optimale, car elle ne permet pas la valorisation et la diffusion du contenu numérique, alors qu'une saisie en lecture optique (OCR) ouvre les voie de la mise en ligne, de l'indexation et de la diffusion électronique (gratuite ou payante). Elle constitue en outre le seul moyen de sauvegarder des œuvres de l'esprit condamnées à disparaître à plus ou moins long terme en raison de la relative fragilité du support papier.
Diverses aides existent en faveur de la numérisation d'ouvrages de fond et de revues. On trouvera plus de renseignements sur le site du Centre national du Livre (CNL).